Je viens de m'apercevoir que les heures de mes articles ne correspondaient pas au moment où je les avais écrit, j'espère que cette fois cela sera rectifié pour cet article. J'étais à l'heure du Pacifique...
Et oui, facile d'ouvrir un blog, plus difficile de le mettre en forme!!
dimanche 27 novembre 2011
La blonde a encore frappé
Libellés :
mon blog et vous
Pays/territoire :
France
Flemmingite aigue
Quand la motivation est là juste à côté, vous la voyez mais il vous manque le courage audacieux de tendre le bras pour l'attraper!
Vous connaissez tous ce sentiment. Ce moment charnière entre: "Je suis bien là en pilou pilou, je n'ai pas envie de bouger" et cette voix intérieure qui vous dit au même moment "Faudrait peut être te bouger un peu". Et bien, à ce moment précis j'en suis là!!
Vous connaissez tous ce sentiment. Ce moment charnière entre: "Je suis bien là en pilou pilou, je n'ai pas envie de bouger" et cette voix intérieure qui vous dit au même moment "Faudrait peut être te bouger un peu". Et bien, à ce moment précis j'en suis là!!
Interrogations dominicales
Et voilà, un nouveau dimanche de célibataire: se réveiller seule, traîner en pilou pilou une partie de la matinée, et penser à sa vie, à la Vie.
Souvent les gens disent que les générations passées ont eu une vie compliquée, des conditions de vie difficiles, j'en suis consciente mais j'ai l'impression que le vingt-et-unième siècle est le siècle de l'indécision, de l'instabilité sentimentale et professionnelle, nos relations sont à l'image de la société, une société de consommation, on prend, on jette, on change, on esquive, on est pressée, on est indécis. Les gens ne savent plus être heureux, tout le monde cherche le bonheur, mais j'ai l'impression qu'on se pose les mauvaises questions. On court après le temps, on court après la perfection, après la vie idéale. On ne croit plus aux contes de fées mais on nous a fait croire que l'on aurait une vie plus belle, plus facile que celles de nos parents ou de nos grand- parents. Je ne sais si c'est vrai.
Aujourd'hui, les gens ont du mal à vivre ensemble, on du mal à s'écouter, à prendre le temps d'apprécier les choses simples de la vie. Souvent on ne veut pas ressembler à nos parents et pourtant pour ma part, j'ai l'impression que leur vie d'adulte était plus douce.
Aujourd'hui, on est conscient de cette incertitude sentimentale, on est conscient que rien n'est acquis, ne sera jamais acquis, nos parents le savaient mais étaient moins confrontés à cette réalité.
Pour nous, c'est autre chose, rien qu'en regardant les affiches de films, on voit qu'un grand nombre de films sortent sur les relations humaines, ce mois-ci à l'affiche: "L'art d'aimer", "Les adoptés", le mois dernier: "Sex list", il y a quelques mois "Les petits mouchoirs" ...phénomène de société ou réalité?
Aujourd'hui, il n'y a plus de règles, les adultes vivent dans cette insécurité sentimentale et les enfants aussi.
Voilà mes pensées parmi d'autres en ce dimanche matin.
Souvent les gens disent que les générations passées ont eu une vie compliquée, des conditions de vie difficiles, j'en suis consciente mais j'ai l'impression que le vingt-et-unième siècle est le siècle de l'indécision, de l'instabilité sentimentale et professionnelle, nos relations sont à l'image de la société, une société de consommation, on prend, on jette, on change, on esquive, on est pressée, on est indécis. Les gens ne savent plus être heureux, tout le monde cherche le bonheur, mais j'ai l'impression qu'on se pose les mauvaises questions. On court après le temps, on court après la perfection, après la vie idéale. On ne croit plus aux contes de fées mais on nous a fait croire que l'on aurait une vie plus belle, plus facile que celles de nos parents ou de nos grand- parents. Je ne sais si c'est vrai.
Aujourd'hui, les gens ont du mal à vivre ensemble, on du mal à s'écouter, à prendre le temps d'apprécier les choses simples de la vie. Souvent on ne veut pas ressembler à nos parents et pourtant pour ma part, j'ai l'impression que leur vie d'adulte était plus douce.
Aujourd'hui, on est conscient de cette incertitude sentimentale, on est conscient que rien n'est acquis, ne sera jamais acquis, nos parents le savaient mais étaient moins confrontés à cette réalité.
Pour nous, c'est autre chose, rien qu'en regardant les affiches de films, on voit qu'un grand nombre de films sortent sur les relations humaines, ce mois-ci à l'affiche: "L'art d'aimer", "Les adoptés", le mois dernier: "Sex list", il y a quelques mois "Les petits mouchoirs" ...phénomène de société ou réalité?
Aujourd'hui, il n'y a plus de règles, les adultes vivent dans cette insécurité sentimentale et les enfants aussi.
Voilà mes pensées parmi d'autres en ce dimanche matin.
Naissance
Et voilà, une naissance, encore une!
Mais celle-ci se fait sans douleur, sans un cri, sans une larme qui perle le long des yeux.
Une naissance discrète, secrète.
Et oui, pendant que toutes mes amies trentenaires mettent au monde des bébés, moi, j'accouche d'un blog! Vous parlez d'une histoire!
Voilà des histoires, j'en ai plein à raconter c'est pour ça que j'ai décidé d'écrire. Ces histoires de rien du tout, qui nous arrivent chaque jour mais qui, quand on y réfléchit bien, ont d'extraordinaire ce qu'elles ont d'ordinaire.
Ecrire pour se rappeler, ne pas oublier, écrire pour laisser une petite trace de ma vie bien banale d'une trentenaire du 21° siècle.
Mais celle-ci se fait sans douleur, sans un cri, sans une larme qui perle le long des yeux.
Une naissance discrète, secrète.
Et oui, pendant que toutes mes amies trentenaires mettent au monde des bébés, moi, j'accouche d'un blog! Vous parlez d'une histoire!
Voilà des histoires, j'en ai plein à raconter c'est pour ça que j'ai décidé d'écrire. Ces histoires de rien du tout, qui nous arrivent chaque jour mais qui, quand on y réfléchit bien, ont d'extraordinaire ce qu'elles ont d'ordinaire.
Ecrire pour se rappeler, ne pas oublier, écrire pour laisser une petite trace de ma vie bien banale d'une trentenaire du 21° siècle.
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